A un moment ou,  l’ANSES reconnaît,  les vertus du piégeage et en recommande l’usage massif contre le charançon rouge du palmier,  on est stupéfait des enseignements que procure l’application des technologies les plus récentes à la connaissance de la pyrale du maïs.

On prend ici conscience que tout ce que la recherche aurait pu nous apporter dans ce domaine.   N’avons-nous pas tiré la sonnette  d’alarme depuis des années ?  Contraint au seul monitoring nous avons le sentiment de sortir du « Moyen Âge »,  alors qu’on continue de lire que   la femelle du CRP est si prolifique qu’il vaut mieux mettre un cierge pour qu’elle ne vienne pas sur nos palmiers !!  Peut-on rattraper ce retard  abyssal ?


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