Vol au dessus d’un nid de charançons...
samedi 8 mars 2014 -
Avec tout le respect que nous lui devons, Jean-Sébastien VIALATTE aurait été plus inspiré de réagir à notre SMS urgent pour débattre avec lui des négociations avec le ministère DGAL que de laisser son service environnement faire joujou avec les drones ! ( bien que ce dernier semble très prudent dans son appréciation première ).
Nous avons déjà traité ce sujet récemment http://www.sauvonsnospalmiers.fr/spip.php?article729. On est toujours tenté par la nouveauté ; les drones on les aime tous sauf les talibans ! Mais au delà des drones grand public, les prix s’envolent et on sait qu’il y aura vite des restrictions administratives d’usage. Il faut garder nos sous pour les grands enjeux de la prévention qui n’a rien à voir avec l’observation qui ne fait que constater en l’état actuel de nos outils de mesure, que nos palmiers sont déjà bien infectés et qu’ils vont demander de lourdes dépenses appelant des compétences pointues avec un taux de casse non négligeable. Non, il faut traiter préventivement et systématiquement. Il existe des solutions économiques déjà et bientôt sans doute avec l’endothérapie EMAB.
La France a été le premier pays européen à s’être doté d’un cadre législatif via l’arrêté du 11 avril 2012 (à revoir dans 18 mois ) limite au delà de laquelle ça se complique beaucoup 25 kg . Mais en ZNA sur l’espace public avec un produit classé produits phytopharmaceutiques au e-phy R36/38 R43 Risque de Toxicologie Xi ......... ça doit poser d’autres problèmes en particulier d’assurance.