Un nouvel article de Michel Ferry
lundi 21 avril 2014 -
Revue FRUITS (Revues éditées ou coéditées par le Cirad) publication Cambridge Journals
Nous en avons pris connaissance intégralement mais pour d’évidentes raisons de copyright nous pouvons pas le publier sur le site.
On peut cependant en donner le sens général ( extrait de l’abstract) Contrairement à un cliché très répandu, les palmiers sont tout à fait capables de « cicatriser » leurs blessures c’est le « processus du scellement » . L’injection chez les palmiers : depuis des dizaines d’années, cette technique est utilisée sans problème et avec une grande efficacité contre divers ravageurs, dont le charançon rouge des palmiers (CRP). Mais elle doit être limitée à des situations exceptionnelles soit pour faire face à la pullulation anormale d’un ravageur, soit dans le cadre de programmes d’éradication. Le principal intérêt des traitements par injection est préventif. Avec des insecticides à longue persistance, le nombre des traitements est réduit. Economie en temps et en argent permettant une prévention systématique. Nouvelles perspectives. Il est établi que des insecticides appliqués par injection étaient capables de protéger les palmiers avec seulement deux ou même un seul traitement par an. Cest un changement radical dans la mise en œuvre de programmes intégrés d’éradication du CRP, qui respecte mieux l’environnement.
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