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Les insectes ravageurs passent au photomaton

jeudi 20 avril 2017 - Rédaction SNP

La technologie, la recherche appliquée apparaisse enfin dans l’arsenal des moyens de lutte contre les ravageurs. Ici une illustration semble-t-il très adaptée aux lépidoptères , il nous faudra donc patienter puisqu’il n’y a pas encore de phéromones permettant de capturer le paysandisia archon. Nous voulions cependant publier cette information preuve de la vivacité de la recherche appliquée, raison d’être optimiste pour la suite.

Les nouvelles technologies se déploient dans les parcelles agricoles. Y compris les appareils photo. Une société propose en effet une nouvelle génération de pièges qui photographient les insectes, pour les identifier et aider les producteurs à prendre les bonnes mesures.

Ce n’est pas un cliché : le suivi des populations de ravageurs des fruits et légumes est essentiel à la maîtrise des risques. Pour aider les maraichers et arboriculteurs à mieux connaitre les visiteurs indésirables dans leurs parcelles, une société slovène, Efos, a développé une nouvelle génération d’appâts. La technologie Tapview associe des pièges à phéromones classiques à… des appareils photos.

Insectes photographiés pour identification

écembre 16 salons de celui de la stabilité d’emploi après évidemment de circulation
 

Les insectes sont attirés par les phéromones, et englués sur des plaques, où leur portrait est tiré chaque jour, ou plus régulièrement selon le souhait du producteur, par un bloc de cellules photographiques à très haute définition. Les images sont analysées automatiquement par un logiciel accessible sur PC, tablette et smartphone. L’agriculteur est averti, et dispose ainsi d’éléments pour organiser la protection de ses cultures.

2017 marque le lancement de cet outil en France. Quatre modèles sont prévus : standard, lumineux, spécial insectes très petits et vertical, chacun ayant ses propres insectes-cibles. La société Corhize, qui s’occupe du déploiement de l’outil dans l’Hexagone, propose l’analyse d’un œil expert pour confirmer les conclusions du logiciel.
E.P. - 20/04/2017

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