L’Edito d’avril
vendredi 12 avril 2013 -
Chers amis et passionnés du palmier,
Pardon, nous avons pris quelques jours de retard absorbé par cette pétition. Avant que les beaux jours donnent le top départ des vols de charançons, nous sentons une certaine fébrilité dans la presse, chez les professionnels, dans les collectivités, dans les comités d’intérêts locaux, dans les administrations et assimilé. Faut-il anticiper la partie, perdue ? en paraphrasant un célèbre président de la république quand il parlait du chômage !
Beaucoup trop facile, pas de politique de l’autruche........... les propriétaires privés , de palmiers potassent les arrétés de 2010 et 2012 ils ont compris qu’en attendant de nouvelles molécules l’instauration d’un bouclier phyto ( en concours deux ou trois fois dans l’année dans les conditions sont propices avec des vers nématodes) pour protéger leur patrimoine est la seule solution. Comme un Espagne, ils demandent la pose de dispositifs fixes permettant de traiter régulièrement leurs palmiers sans aucun nouvel investissement en dehors des produits. Ils trouveront avec les professionnels des accords conformes à la réglementation et surtout au désir de ne rien perdre de leur patrimoine.
En parallèle nous fondons de réels espoirs sur des expérimentations de répulsifs et surtout sur une politique raisonnée et à échelle suffisante de piégeage. Nous travaillons pour y parvenir à des conditions financières très favorables et nous sollicitons la communauté scientifique pour qu’elle nous donne des conseils pratiques d’une lutte préventive en fonction des relevés de captures.
Non, il ne faut pas compter sur l’association pour faire partie du cœur du requiem.....