colloque de Rome (FAO).... répliques
vendredi 26 mai 2017 -
Ce colloque qui a surtout été une sismique mobilisation politique, produit encore quelques répliques dont un tweet de nos amis de M2 i life science .
Nouvelles : Un nouveau plan d’action pour empêcher la progression du charançon rouge du palmier https://t.co/NxGpNiKG5N via @FAONews #UNFAO
pguerret 25 May
On note tout d’abord que la FAO ne préconise aucun traitement en particulier. Elle poursuit sur la nécessité d’une :
.... gestion intégrée du ravageur implique une formation des agriculteurs, des contrôles réguliers, des pièges à phéromones, un suivi des infestations, le retrait des arbres très infestés, des mesures de quarantaine strictes et le suivi des progrès réalisés dans le cadre de cette approche intégrée.
Si on transpose dans notre environnement que reste-t-il ?
- la nécessité du piégeage
- le retrait impératif de tout foyer d’infestation
- des mesures de quarantaine strictes
SNP est d’accord sur ces conclusions, étant précisé que nous avons en face de nous, non des agriculteurs mais des propriétaires publics et privés aux motivations et au profils très différents. Il faut donc d’abord redonner confiance en expliquant à la population et aux collectivités que quelque soit la stratégie utilisée , comme le font si bien nos adhérents, quand on s’occupe de ses palmiers, on les sauve.... Il faut ensuite remobiliser les propriétaires en persuadant une poignée d’entre eux de gérer une politique raisonnée de piégeage, qui devient une stratégie complémentaire incontournable . Sur ce résultat demander aux maires des communes concernées de désigner un correspondant palmier dans leur service EV. Enfin, pour remplacer le lien économique et culturel de la filière dattière s’appuyer sur nos jardins botaniques qui ont un riche patrimoine palmier pour redonner du sens et du prestige à la détention de ce végétal d’exception en réalité aussi présent que mal connu.