Bahreïn Solution ?
samedi 28 juin 2014 -
Dans notre malheur, nous nous rassurons en pensant à tous les pays de la péninsule arabique dramatiquement concernés par le charançon rouge et qui disposent des moyens financiers illimités pour le combattre.
Incidemment dit, on peut s’étonner qu’alors même que notre brillante recherche française manque de moyens financiers il existe ce gisement exceptionnel de financement. Mais peut-être plus facile à dire qu’à faire .....
Cet article journalistique, bref mais très intéressant, car il nous éclaire sur les conditions de ponte de la femelle charançon. Tout tournerait autour des inflorescences mâles dont les fleurs attirent et localisent la ponte. A partir de là, la réflexion s’emballe :
* Il faut concentrer nos traitements sur les inflorescences mâles en floraison,
* persuader les propriétaires de palmiers que le traitement ( répulsifs) ou le rabattage de ces inflorescences n’est pas seulement une obligation légale mais la clé de la survie de leur palmier.
* envisager un système d’avertissement BSV, mails d’alerte aux adhérents .....
* n’étant # pas concerné par le palmier dattier on pourrait envisager le rabattage de inflorescences femelles aussi mais cela mériterait une étude scientifique particulière sur les conséquences des rabattages successifs. Nous sommes un peu circonspect sur ce point. Autre remarque intéressante la ponte s’effectuerait tout autant sur inflorescences mâles et femelles. certains auteurs avancent que seules les inflorescences mâles sont concernées. Ou est la vérité ?
Il faudrait sans doute qu’une équipe scientifique vérifie cette découverte. Nous allons le proposer à l’INRA. Nous avons tout ce qu’il faut pour le faire rapidement en métropole. Aucune formalité spéciale sans doute , même pour un insecte de quarantaine puisqu’il s’agit d’une simple observation. A notre avis guère de problème de financement compte tenu de l’intérêt pratique
breakthough = percée